L'absolu, s'il existe, n'est pas du ressort de nos connaissances; nous ne jugeons et nous ne pouvons juger des choses que par les rapports qu'elles ont entre elles.
Il semble que de tout temps l'homme ait fait moins de réflexion sur le bien que de recherches pour le mal.
L'absolu, s'il existe, n'est pas du ressort de nos connaissances; nous ne jugeons et nous ne pouvons juger des choses que par les rapports qu'elles ont entre elles.
Si les animaux n'existaient pas, ne serions-nous pas encore plus incompréhensibles à nous-mêmes ?