L'Etat républicain, c'est aussi la laïcité.
Nos convictions semblent à l'opposé, probablement l'un est-il moins à gauche qu'il ne le fait croire et l'autre moins à droite qu'il ne le laisse paraître.
Aucune civilisation n'a duré quand elle acceptait la fracture sociale des exclus.
Finalement, chaque homme n'agit qu'en fonction de la satisfaction d'un désir.
Sarkozy, faut lui marcher dessus. Et du pied gauche, ça porte Bonheur.
Nous devons prendre conscience que le travail ne constitue plus, désormais, l'essentiel d'une vie.
Le droit de vote, ce n'est pas l'expression d'une humeur, c'est une décision à l'égard de son pays, à l'égard de ses enfants.
Le changement est la loi de la vie humaine, il ne faut pas en avoir peur.
Le désarmement suppose une transparence. Et les dictatures ne résistent pas longtemps à la transparence.
Face à l'intolérance et à la haine, il n'y a pas de transaction possible, pas de compromission possible, pas de débat possible.