On ne s'aime jamais comme dans les histoires, tout nus et pour toujours. S'aimer, c'est lutter constamment contre des milliers de forces cachées qui viennent de vous ou du monde.
Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long.
Le drame de la belle-mère, ce personnage comique du répertoire, c'est qu'il est l'image de la durée...
Le mariage c'est la robe. Après, évidemment, on a le mari !
Les hommes, c'est comme les chiens, ça mord parce que ça a peur.
On n'est vieux que le jour où on le décide.
Chacun de nous a un jour, plus ou moins triste, plus ou moins lointain, où il doit enfin accepter d'être un homme.
Nous voulons tous louer à l'année et nous ne pouvons jamais louer que pour une semaine ou un jour : c'est l'image de la vie.
Le célibataire vit comme un roi et meurt comme un chien, alors que l'homme marié vit comme un chien et meurt comme un roi.
J'aurai beau tricher et fermer les yeux de toutes mes forces... Il y aura toujours un chien perdu quelque part qui m'empêchera d'être heureuse...