Les citations de Johann Wolfgang von Goethe

Johann Wolfgang von Goethe

 Les mathématiciens sont comme les français : quoique vous leur dites ils le traduisent dans leur propre langue et le transforme en quelque chose de totalement différent. 

 Mourir est une distraction. 

 L'air frais des champs ; voilà notre vraie place ; il semble que là l'esprit de Dieu entoure l'homme de son souffle, et qu'il soit soumis à une influence divine. 

 On a toujours assez de temps quand on en fait un bon usage. 

 Ecraser l'innocent qui résiste, c'est un moyen que les tyrans emploient pour se faire place en mainte circonstance. 

 La félicité suprême du penseur, c'est de sonder le sondable et de vénérer en paix l'insondable. 

 Le véritable poète a pour vocation d'accueillir en lui la splendeur du monde. 

 Les braves gens ne savent pas ce qu'il en coûte de temps et de peine pour apprendre à lire. J'ai travaillé à cela quatre-vingts ans, et je ne peux pas dire encore que j'y sois arrivé. 

 Qu'est-ce que ton devoir ? L'exigence de chaque jour. 

 Combien fécond le plus petit domaine, quand on sait bien le cultiver.