Mon Dieu, donne moi le courage de changer les choses que je peux changer, la sérénité d'accepter celles que je ne peux pas changer, et la sagesse de distinguer entre les deux.
Ne jamais agir au hasard , ni autrement qu'en se conformant à une règle permettant l'accomplissement de l'art de vivre.
N'use pas ce qu'il te reste de vie à t'imaginer ce que pensent les autres, à moins que ce ne soit en rapport avec l'intérêt général.
On n'est pas moins fautif en ne faisant pas ce qu'on doit faire qu'en faisant ce qu'on ne doit pas faire.
Sois sobre à te donner relâche.
Il faut donc être droit, non redressé.
Ne point se laisser entraîner par le tourbillon ; mais, dans toute entreprise, s'appliquera ce qui est juste ; et, dans toute pensée, conserver avant tout la plénitude de l'intelligence, qui comprend les choses.
Si la conscience de nos fautes s'en va, quel motif de vivre nous reste-t-il encore ?
Sur la mort : C'est une dispersion, s'il n'y a que des atomes. Mais, s'il y a retour à l'unité, c'est une extinction ou une émigration.
Si un élément externe vous fait souffrir, notre douleur n'est pas causée par cet élément en tant que tel mais par votre propre jugement de cet élément; et vous avez le pouvoir d'annuler ceci à tout moment.