La plus grande partie de la vie passe à mal faire, une grande partie à ne rien faire, toute la vie à ne pas penser à ce que l'on fait.
Un ami dans la vie est très bien ; deux, c'est beaucoup ; trois, c'est à peine possible. L'amitié nécessite un certain parallélisme dans la vie, une communauté de pensée, une rivalité de but.
Dans la vie de l'esprit comme dans la vie pratique, celui dont les connaissances tiennent progresse toujours et réussit. Celui, au contraire, piétine qui perd son temps à réapprendre ce qu'il a oublié.
On peut douter de la valeur d'une vie vertueuse qui se termine dans le vice autant que d'une vie de péché qui finit bien.
C'est dur d'échouer, mais c'est pire de n'avoir jamais essayé de réussir. Dans cette vie, on n'obtient rien sans effort.