Je suis à toi et tu es à moi, nous sommes unis pour toujours ; que jamais cela ne change !
Je ne l'aime plus, c'est vrai, pourtant, peut-être je l'aime. Il est si bref l'amour et l'oubli est si long.
On dira que c'est peu de chose, c'est immense, comme l'amour, ce jeu étrange, où l'on est présent à soi par la présence de l'autre, où l'infini d'un visage fait éclater la finitude du moi.
Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce, qui me charme toujours et jamais ne me lasse.
Je t'aime, tu m'aimes, c'est ce que veut mon coeur ; Tu m'aimes, je t'aime, voilà le vrai bonheur.
Remplis-toi de moi. Désire-moi, épuise-moi, déverse-moi, sacrifie-moi, demande-moi. Accueille-moi, contiens-moi, cache-moi. Je veux être à quelqu'un, je veux être à toi, c'est ton heure.
Plus vous donnerez de votre coeur, plus il vous en sera rendu par l'influence divine de l'amour.
Tu dis que tu aimes les fleurs et tu leur coupes la queue, tu dis que tu aimes les chiens et tu leur mets une laisse, tu dis que tu aimes les oiseaux et tu les mets en cage, tu dis que tu m'aimes alors moi j'ai peur.
L'amour tourmenté, soupçonneux, sans cesse traversé d'orages, est plus l'amour que l'amour heureux
Qu'importe le temps Qu'emporte le vent Mieux vaut ton absence Que ton indifférence.