On a le droit de dire du mal des femmes ; on n'a pas le droit de dire du mal d'une femme.
L'homme sans la femme et la femme sans l'homme sont des êtres imparfaits dans l'ordre naturel. Mais plus il y a de contraste dans leurs caractères, plus il y a d'union dans leurs harmonies.
Si les hommes n'entendent rien au coeur des femmes, les femmes n'entendent rien à l'honneur des hommes.
Bénie soit la providence qui a donné à chacun un joujou : la poupée de l'enfant à la femme, la femme à l'homme, et l'homme au diable.
Quand nous nous marions, c'est pour trouver dans notre femme ce que nous avons inutilement demandé aux femmes des autres.
La femme est assez proche de l'homme, comme l'épagneul breton. A ce détail près qu'il ne manque à l'épagneul breton que la parole alors qu'il ne manque à la femme que de se taire.
Il y a un seul cas où il est convenable d'aborder une femme laide. C'est pour lui demander si elle ne connaît pas l'adresse d'une jolie femme.
Il n'y a qu'une antistrophe entre femme folle à la messe et femme molle à la fesse.
Cette femme s'avance ; que son air est modeste ! Elle ne lève les yeux que pour voir si les autres femmes sont aussi modestes qu'elle.
Tous les jours on couche avec des femmes qu'on n'aime pas, et l'on ne couche pas avec des femmes qu'on aime.
L'amour crée dans la femme une femme nouvelle : celle de la veille n'existe plus le lendemain.
Un homme qui pense, non à une femme comme au complément d'un sexe, mais au sexe comme au complément d'une femme, est mûr pour l'amour.
Il y a beaucoup d'hommes, quoi qu'on en dise, qui ne se vantent pas de leurs victoires, mais toutes les femmes racontent leurs défaites.
La femme serait vraiment l'égale de l'homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente.
Une femme que nous entretenons ne nous semble pas une femme entretenue tant que nous ne savons pas qu'elle l'est par d'autres.
N'oubliez jamais qu'il est aussi facile d'épouser une femme riche qu'une femme pauvre.