Les femmes ! Ah ! Les femmes ! Elles sont comme l'argent : on aimerait pouvoir les jeter par la fenêtre.
Les hommes sont faits pour avoir de l'argent ! Pas les femmes. Les femmes sont faites pour en demander.
Dieu a laissé discuter un ange. Il a eu Satan. L'homme a laissé discuter sa femme. Il a eu la femme.
Les femmes sont extraordinaires. Elles savent se servir de leur moindre atout : l'une, c'est sa démarche, l'autre, son décolleté, une troisième, ses jambes... Il y en a même qui se servent de leur intelligence !
En regardant les gens marcher dans la rue, on apprend à distinguer les hommes des femmes : les têtes qui se tournent vers toutes les vitrines des magasins sont celles des femmes. Il existe d'autres moyens de vérification.
Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie.
Il n'y a que deux belles choses au monde, les femmes et les roses, et que deux bons morceaux : les femmes et les melons.
Les femmes ne se souviennent guère que des hommes qui les ont fait rire, et les hommes que des femmes qui les ont fait pleurer.
Les femmes, c'est le quotidien mis au premier plan : d'où la peur qu'il faut avoir des femmes.
Le meilleur ménage est celui où la femme gouverne sans le vouloir et où l'homme est gouverné sans que les tiers s'en aperçoivent.
Le désir de l'homme est brutal et sommaire. Celui de la femme rusé et lent, comme venant de plus loin.
Une femme qu'on aime suffit rarement à tous nos besoins et on la trompe avec une femme qu'on n'aime pas.
Nous appelons les 'dernières faveurs' d'une femme ce qu'en premier nous souhaitons d'elle.
Les femmes ne sont guère changeantes ; elles restent elles-mêmes, jusque dans leur contradictions.
Les femmes préfèrent la brutalité à l'ironie. Le brutal se met nettement dans son tort à leur égard ; l'ironiste les met en méfiance vis-à-vis d'elles-mêmes et cela ne pardonne pas.
Il n'est pas impossible qu'un homme n'aime qu'une femme dans sa vie : il suffit pour cela qu'il n'aime point les femmes.