J'ai choisi ma femme comme elle a choisi sa robe de mariée ; pas pour son apparence brillante et délicate mais parce qu'elle résisterait au temps.
Prendre femme est étrange chose ; Il y faut penser mûrement. Sages gens, en qui je me fie, M'ont dit que c'est fait prudemment Que d'y songer toute sa vie.
Le goût que les femmes ressentiront pour l'ignorance des garçons, les hommes ne sont pas sans l'éprouver pour l'innocence des filles.
Une femme regarde toujours un homme comme un homme. Avoir connaissance de la contrariété des sexes, c'est nécessairement en être troublé.
Les femmes sont comme les cartes, on doit en prendre plusieurs avant de tomber sur la bonne.
La beauté de la femme est un fruit délicat : elle fleurit partout, mais elle ne mûrit qu'en espalier contre un mari.
Les femmes n'aiment pas indiquer leur âge parce qu'elles sont trop modestes pour révéler qu'elles sont belles depuis longtemps.
Il en est souvent des femmes comme de l'argent : on les prend pour les mettre de côté.
De sa naissance à ses 18 ans, il faut qu'elle ait de bons parents. De 18 à 35 ans, il faut qu'elle ait un physique agréable. De 35 à 55 ans, il lui faut de la personnalité. A partir de 55 ans, il lui faut de l'argent.
Une fille qui fait 95 de tour de poitrine et 32 de tour de tête ne peut pas vraiment être mauvaise. Elle peut seulement être légèrement sotte.
La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes, en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux.
Vous devez avoir horreur de l'instruction chez les femmes, par cette raison qu'il est plus facile de gouverner un peuple d'idiots qu'un peuple de savants.
Il n'est peut-être pas indifférent à certains anatomistes de la pensée de savoir que l'âme est la femme.