Le mariage et la perspective d'une pensée alimentaire font parfois faire d'étranges choses aux femmes.
En fait de mariage, il n'y a de reçu que ce qui est sensé, et il n'y a d'intéressant que ce qui est fou. Le reste est un vil calcul.
Ceux qui sont unis par les liens du mariage doivent le traiter avec le plus grand respect, et n'en jamais souiller la pureté par des unions illégitimes.
C'est trop de deux enfers ; le mariage en est un, préservons-nous toujours de celui-là.
Combien de larmes, de souffrances, de drames ont causé notre artificielle conception de la famille et du mariage !
Le mariage, c'est comme un long voyage en mer pendant lequel il faut être suffisamment habile pour passer le cap dans la tempête. L'idéal est d'arriver, poussé par le bon vent, dans la baie de tranquillité.
Eh oui ! On s'épouse sans se connaître. Vous voulez donc qu'il n'y ait plus de mariages !
Il y a peu de femmes, qui, après avoir été idolâtrées, soutiennent l'épreuve du mariage.
Chaque fois que j'ai rencontré un homme sensationnel, ou bien il était marié, ou bien c'est moi qui l'était.
Deux personnes peuvent parfaitement se marier parce qu'elles se trouvent trop seules, ou parce qu'elles s'entendent bien, ou encore par intérêt, pour des raisons pratiques.
Le mariage est la réduction des possibles de deux êtres à une destinée commune fondée sur des ambiguïtés où l'on tente de trouver quelque grandeur.
Un Blanc marié à une indigène ou à une métisse doit s'attendre à devenir une poule aux oeufs d'or pour toute sa parenté.