On n'épouse pas toujours les femmes qu'on prendrait pour maîtresses. C'est même un peu la raison pour laquelle le mariage et la galipette sont deux choses bien différentes.
Le concept même du mariage est une aberration. Il est impossible que ça marche, sauf dans le cas où il s'agit de deux hommes aimant tous deux le base-ball et ayant des revenus séparés.
Le mariage, aujourd'hui, pour une femme, c'est un commencement ou une fin, mais ce n'est plus une carrière.
Le mariage, dans certain pays, c'est le châtiment qu'on inflige aux voleurs à l'étalage.
Dans le mariage comme hors du mariage, faire l'amour est une chose, s'aimer est une autre chose.
Les femmes se divisent en deux catégories : les célibataires, qui ne rêvent que mariage ; les mariées, qui ne rêvent que divorce.
Le mariage, depuis le moment où il est conclu et scellé, est une chose à faire, non une chose faite.
Tout coeur sensible et sage va droit au mariage.
Vous soupirez : mais est-ce un si grand mal quand on aspire à l'anneau conjugal ?
Le mariage vous donne un entourage, il vous met dans une situation que vous croyez "normale", et qui ne l'est pas toujours.
Supprimez la passion dans le mariage, pour que le mariage soit ennuyeux, et, quand votre femme s'ennuiera, moi, tout le monde, je la consolerai.
Si l'on pouvait prolonger le bonheur de l'amour dans le mariage, on aurait le paradis sur la terre.