Elle a les yeux couleur de ma vague chimère, O toute poésie, ô toute extase, ô Mère ! A l'autel de ses pieds je l'honore en pleurant, Je suis toujours petit pour elle, quoique grand.
Ma vie est partagée entre l'amour de la femme qui est ma mère, et celui de toutes les femmes qui ne le sont pas.
Je me rappelle les prières de ma mère ; elles m'ont toujours suivi. Toute ma vie, je m'en suis imprégné.
La France c'est ma mère. On peut changer d'épouse mais on ne peut pas changer de mère.
La mémoire de ma mère et ses enseignements ont été, après tout, le seul capital dont j'ai disposé pour affronter la vie. Et ce capital m'a fait devenir ce que je suis.
Pleurer sa mère, c'est pleurer son enfance. J'ai été un enfant, je ne le suis plus et je n'en reviens pas.
Ma grand-mère a farci des dindes, des crabes et des choux. Elle a nettoyé des murs, des plafonds et les fesses des petits garçons. Elle a posé du papier peint, réparé des bicyclettes et des horloges, et a pansé mille et une blessures.
Ma mère est tellement petite qu'elle saute à pieds joints sur les touches pour composer un numéro de téléphone.
Arrive-t-il quelque bonheur ? Vite, à sa mère on le raconte ; C'est dans son sein consolateur Qu'on raconte ses pleurs ou sa honte.
Un ami ne peut prendre la place d'une mère. J'ai besoin de ma mère comme d'un exemple à suivre.
Qu'est-ce que je vais penser des autres femmes, maintenant que je sais que ma mère peut mentir !