Les citations de Pablo Neruda

Pablo Neruda

 Le printemps est inexorable. 

 Et ce fut à cet âge... La poésie vint me chercher. Je ne sais pas, je ne sais d'où elle surgit, de l'hiver ou du fleuve. 

 Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde ! 

 Aimée, aimée, ô mienne, séparée par tant de fois la mer, la neige et la distance,bmenue et mystérieuse, environnée d'éternité, merci. 

 La terre s'est imposé l'homme pour châtiment. 

 Si chaque jour tombe dans chaque nuit, il existe un puits où la clarté se trouve enclose. 

 Je te cherche dans les yeux de toutes les femmes, je te cherche et jamais n'ai pu te rencontrer. 

 J'ai marqué peu à peu l'atlas blanc de ton corps avec des croix de flamme. 

 J'ai grandi dans ces rues tristes en regardant les quincailleries, les marchés de legumes. 

 Les prétentions "racistes" absurdes de quelques nations sud-américaines, elles-mêmes produits de croisements et de métissages multiples, sont une tare de type colonial.